Le bruit de la joie.
J'avançai frénétiquement vers ce doux glas qui me rappelle toujours autant ce choeur mixte étonnement homogène. Ce son radieux qui m'était devenu si familier, mais pourtant si lointain.
Malgré cette indéniable envie de courir, de me cacher sous peine d'une alarmante sentence immaginaire, je m'efforcai encore. Il fallait que j'aille voir.
Tandis que cette inexorable pénombre environnante semblait me narguer, d'étranges bruits me poursuivaient dans cette marche désespérée.
Pourtant, non loin d'ici, une lumière tant inerte qu'intense logeait.
Cet inextanguible cri me perçait le corps davantage à chacun de mes pas, tel un poignard que l'on enfoncerait doucement contre moi.
Toujours avec cette tonitruance singulière, ce son voisin m'appelait et, dans un geste frêle, je contemplais alors cette parois dont la dureté m'irritait la peau, au toucher.
Je continuai cependant cette abracadabrandesque marche, d'un rythme saccadé de par ma peur naissante.
***
Me voilà arrivé. Cette lumière était là. Dans une seule et unique pièce.
J'avancai doucement vers son entrée, prenant soin de ne faire d'avantage de bruit.
Mon regard fut tout d'abord attiré par cet inextricable système de noeuds entremêlés sur eux-mêmes telle une multitude d'asticots le serait sur mon cadavre.
C'était donc ce système qui était à l'origine de mon attention toute particulière.
Envahi d'une douce curiosité je continuai mon observation méthodique.
D'immenses chandelles flottaient vraisemblablement dans les airs tandis que des fleurs plus ou moins exotiques faisaient louange à la plus grande d'entre elles.
Les murs étaient décorés rustiquement et une table plutôt modeste logeait au centre de cette salle des plus mystérieuse.
Mon regard se tourna alors vers ce groupe de personnes dont la jovialité m'avait fait traversé ce sombre incroyable qu'etait l'extérieure.
La solitude me lassant, une idée des plus sougrenues me vint à l'esprit.
Je pris un petit mouchoir dans ma poche, écris quelques petits mots et balançai le tout sur la personne la plus proche : Glountata, ou plus traditionnellement proféré sur votre planète : Bonjour.
Je viens ici, dans un pur moment de folie,
ou de masochisme peut-être, dans le but de vous rejoindre, vous, petite bande de voyeurs intempestifs.
Pourquoi votre guilde ?
Je ne répondrai pas à cette question.
*Se fait encercler par une troupe de cannibales affamés*
Bon, bon, d’accord ! si vous insistez.
N’ayant rejoins qu’une guilde durant ma vie dofusienne, Les Tartes au Citron (Qui fut disloquée de par le manque d’activité de ses membres), je me sens seul. Oui, fouetter, mordre, brûler, péter la gueule des autres ; cela me manque.
C’est pourquoi je suis parti en quête tout d’abord sur jol puis sur le forum de Dofus, d’une guilde qui se veut plutôt « familiale » et « bon enfant ». Sans résultat.
Malgré cela, après quelques jours de recherche, me voilà sur votre forum.
Je regarde, j’observe, j’analyse et je m’aperçois que vous correspondez parfaitement à mes attentes, parce que oui j’aime bien fouetter, mordre, brûler, péter la gueule des autres
mais j’aime aussi que l’on me fouette, morde, brûle, pète la gueule.Ayant un passé de poulpe, j’aurai cependant tendance à vous astiquer précieusement dans le but, non pas de vous faire briller, mais plutôt de vous arracher la peau férocement.
*Regarde ses antisèches*
Passons maintenant à ma p’tite présentation.
Adepte de la réincarnation passive, j’ai à mon compteur des millions de vie ; je peux cependant vous affirmé être à ma 14ème année de celle-ci.
Harcèle constamment les passants pour connaître leur avis sur la consommation de chaussettes.
A déjà sympathisé avec un asticot bouffeur d’orteils.
Je deviendrai un jour, un cornichon.
Admirateur de Patatous, je collectionne depuis peu, les cadavres de pommes de terre.
J’entraîne bien évidemment des chiens à se travestir en Pikachu dans le but de les revendre clandestinement sur Ebay.
J’attire des jeunes enfants (et des mamies) dans ma maison en pain(s) d’épice.
Inventeur de la machine à mettre et remettre les culottes et Co-fondateur de la C.P.B.L.C ou Confrérie des Poulpes Brillants Léchouilleurs de Chèvres.
Je suis une chenille.
Spirit 13 est un rat dépressif, c’est pourquoi, il a été et il est mon idole favori (Notez que c’est le seul).
J’ai tué le père Noël.
Je suis actuellement, atteint d’une schizophrénie lassante, me conférant une double personnalité (triple ?) de bwork attardé en manque (tavusa²).
Ah, j’allais oublié, je tiens à signaler que je griffe.
Mon personnage ?
Je suis donc disciple de Eniripsa, de cercle 127 à ce jour, ayant comme élément de prédilection, la force. (Orienté plutôt Pvp, mais touche également souvent au Pvm)
Mon personnage se nomme Alnay-Kicoulh (Ou Alnay', ou Al' ou encore Hé toi, la boniche ; pour les plus intimes), et est en manque de mouchoirs.
Celui-ci possède 4 métiers plus ou moins avancés :
-Bijoutier, lvl 66 ;
- Joaillomage, lvl 100 ;
- Sculpteur de baguette, lvl 24 ;
- Alchimiste, lvl 34.
Je joue maintenant depuis 1 an environ, je crois.
Envie irrépressible de dire quelque chose de complètement inutile :
Mon personnage est bleu.
Miaou.
Je vais alors, laisser la sénilité s’envahir de moi, vous laissant sur ces quelques mots, et en ajoutant tout bonnement et simplement : je vais vous manger.
Patatesquement. Une patate.